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| Solitude [ron/libre] | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Solitude [ron/libre] Mer 11 Nov - 15:26 | |
| Après une journée bien remplie, Aerith aimait se retrouver seule et fixer l'étendue argentée du lac de l'école, tous les soirs elle venait près de lui et s'asseyait, elle le fixait jusqu'à ce que le soleil soit entièrement couché, puis elle rentrait pour manger. Elle ignorait pourquoi se lac la fascinait tant, il était a la fois étrange et attirant, sans doute se contemplait elle dans se lac, elle y voyait son équivalent naturel. Aerith avait toujours rêvé de pouvoir plonger rien qu'une seule fois dans cette étendue d'eau, sans pour autant oser, elle avait trop peur de se qui pouvait s'y cacher, elle avait entendu parler d'un calmar géant... Rien de bien rassurant, lors de sa quatrième année a poudlard, le tournoi des trois sorciers avait prévu une épreuve au cour de laquelle les participants devaient plonger dans le lac... Ils devaient apparemment récupérer la personne qui leur était le plus cher... Et cette idiot d'Harry Potter avait récupéré plus de personne que nécessaire...Croyait il vraiment que s'il ne le faisait pas, les personnes qui seraient restés sous l'eau seraient morte... Dumbledore n'était pas si irresponsable...
En arrivant a Poudlard pour sa première année, Aerith avait eu beaucoup d'apriori sur le directeur de l'école, elle l'avait pris pour un vieux fou... Il c'était révélé comme le meilleur sorcier qu'elle n'avait jamais vu et elle lui vouait a présent un respect immense se qui la différenciait pas mal de ses comparse de Serpentard... Des fois ils l'exaspéraient un peu, a vouloir toujours être contre toute forme de bien "l'ordre du phenix ne vaux rien, les mangemort sont bien mieux" Aerith savait parfaitement que même pas un quart d'entre eux seraient capable d'entrer dans l'une ou l'autre des deux factions... Elle n'avait pas d'idée précise sur quel camp valaient mieux chacun se battaient pour ses propres idées du bien... Mais si la guerre continuait...elle savait qu'un jour ou l'autre elle devrait choisir son camp... Il y a quelques années, elle aurait dit qu'elle irait vers le plus offrant... Mais elle avait changé, elle avait a présent plus conscience du monde qui l'entourait, bien qu'elle en soit toujours le centre.
Cette idée de choix la mettait en colère, bien plus qu'elle ne l'aurait imaginé, car sans s'en rendre compte elle c'était retrouvé debout baguette a la main, elle ne voulait pas choisir, personne ne lui dirait jamais comment son avenir doit se présenter...
-Qu'il aille au diable!
Les mots étaient sortis tous seuls, et beaucoup plus fort qu'elle ne l'aurai voulu... |
| | | Ronald Weasley Préfet Gryffondor
Nombre de messages : 1174 Date d'inscription : 25/12/2008
| Sujet: Re: Solitude [ron/libre] Mer 11 Nov - 18:32 | |
| C'était une journée bien pénible qui s'achevait enfin. L'air était frais, le soleil ensommeillé et les vents apaisés. Tout et rien à la fois indiquait qu'un hiver doux allait bientôt régner, pour des mois et des mois, sur une Angleterre pluvieuse qui recevait été comme hiver de la même manière. Le paysage se métamorphosait ; c'était certain, seulement les averses ne dépendaient d'aucune saison, et se déclenchaient quand elles le souhaitaient, qu'il fût nuit ou jour, fête ou deuil. Ainsi demeuraient les flaques d'eaux typiquement britanniques, perçant les terres comme les semelles sensibles, laissant flotter cette épaisseur acariâtre propre à l'humidité au-delà des nuages. À Londres, il les imaginait. Tous pressés sur les trottoirs de béton, abandonnant leurs talons valser dans les tibias voisins, provoquant toute une émeute pour un rien. Puis les autres, courant presque sous leurs parapluies immenses, trempés comme des bûches dans leurs imperméables trop larges. Sur le sol s'étendait aussi un bien curieux parterre, ces jours-là. Journaux détrempés, détritus en phase de fusion, chewing-gum orphelins, ou encore grille de loterie perdantes, déversant l'encre d'impression dans un caniveau d'un demi-pied plus bas que le trottoir. Un joyeux bazar, tout ça. C'était peut-être ce capharnaüm qui donnait à Ron cette image aussi négative de Londres ! Il détestait s'y rendre, pour n'importe quelle raison que cela soit. Evidemment, cela n'était valable que pour la ville côté moldu ; il aurait pu vivre au Chaudron baveur qu'il n'en aurait rien dit. Quoi qu'encore, ces derniers temps, il évitait de trop se montrer sur le Chemin de Traverse. Premièrement, il n'avait rien à y faire ; les gallions lui manquaient toujours et par conséquent, mis à part loucher de longues heures face à la vitrine du magasin de Quidditch, il ne pouvait pas faire grand chose. Puis, seconde raison, quelqu'un l'y cherchait sûrement : il s'agissait de Mondingus Fletcher. Durant les grandes vacances, alors que celui-ci était apparu de nombreuses fois au Terrier, il s'était arrangé pour se faire fournir une fiole de potion d'amnésie, qu'il avait - volontairement, soyons honnêtes - oublié de payer. Cet escroc lui avait affiché ses tarifs : 10 gallions le service. À l'époque, le Gryffondor avait déjà une idée de la manière dont il se tirerait de cette affaire. Mais il ne pensait pas que Fletcher irait le chercher n'importe où - même à Pré au lard ! - pour obtenir ses gages. Le plus inquiétant était sûrement que, depuis le début de l'année, Ronald l'avait souvent aperçu prés du lac. Hermione lui avait alors révélé que cet abominable truand avait obtenu des tours de garde au château, en tant que membre de l'ordre. Autant dire qu'il lui était désormais impossible de mettre un pied en dehors du château !
Cela avait duré quelques semaines, un mois, probablement. Constamment sur ses gardes, Ronald était devenu un genre de paranoïaque et, croyez-en ses acolytes, un paranoïaque de la plus haute espèce. Ce petit manège devait prendre fin après les vacances de la Toussaint, quand Nymphadora Tonks prendrait la place de Mondingus. Seulement celui-ci, qui semblait n'avoir autre but que celui d'enfin mettre la main sur son argent, s'était mis d'accord avec Dumbledore pour protéger les élèves jusqu'à la fin de l'année. À l'instant maudit où ces mêmes mots, sortant cette fois-là de la bouche d'Harry, eurent pénétrés son esprit, Ron ne tint plus ; il bondît hors de son lit et dévala les escaliers, sans plus se soucier de Mondingus, ou de tout autre personnage qui en voudrait à ses sous. C'était tout bonnement impensable, il ne tiendrait jamais une année entière, bouclé comme une armure ensorcelée, entre les quatre murs de briques de Poudlard ! Enfin, pour la première fois depuis une quarantaine de jours, l'air lui soufflait sur le bout du nez. Les yeux clos, il entreprit de s'asseoir quand, arrivant d'approximativement loin, une voix rageuse retentit. Elle hurlait quelque chose à propos du diable. Et elle parlait d'ail, aussi. Oui, il était certain d'avoir entendu parler d'ail. L'air boudeur et le ton présumé bourru, il grommela quelque chose et se remit à marcher, tentant de se diriger à l'ouïe vers la source du dérangement. Après avoir traversé trois groupes de potirons, la moitié du potager d'Hagrid et quelques tulipes plantées au hasard, il tomba nez à nez avec le lac. Il était comme d'habitude, impassible, noir et calme, d'une couleur neutre qui s'adaptait harmonieusement au cadre disparate qui se vautrait à son arrière. Chênes nus, buissons broussailleux, pins feuille et roches ternes formaient un amalgame de teintes qui, considérées toutes à la fois, devaient probablement rendre aveugle. En levant les yeux un peu plus haut, au dessus des collines, un autre cadre imprécis tentait vainement de se fondre dans la masse. C'était un ciel foncé, parsemé de nuages rosâtres, tendant parfois vers le bleu pastel, ou vers le gris ardoise, pâle annonciateur d'une pluie battante. Cette vision de la nature rappelait à Ron combien il était petit, dans ce si grand monde. Une pensée qui était loin de le réconforter. Il se sentait déjà si faible, si peu de chose. Il avait toujours cette impression de n'être rien en comparaison avec ceux qui l'entouraient. Mais il "survivrait", comme se plaisait à lui murmurer Mimi Geignarde lorsqu'il feignait de se confier à elle.
Tant de remous psychiques eurent raison du garçon ; il baissa les yeux et découvrit enfin d'où venait la tumulte. Il s'agissait d'une adolescente - tout comme lui - qui n'avait pas l'air bien dangereuse. Il pensa aller la saluer mais, au dernier moment, se ravisa. L'écharpe rougeoyante qu'il avait, nouée autour du cou, représentait toutes ses valeurs, et saluer cet être dont les couleurs étaient celles des Serpentard serait presque une remise en question. Malgré tout, le jeu en avait décidé autrement. À peine prêt à rebrousser chemin qu'une racine - dont il n'avait pas remarquée la présence plus tôt - lui enserra sournoisement la pointe du pied de manière à le faire trébucher, puis s'effondrer au sol dans un boucan que seul un sourd pourrait manquer. Il distinguait maintenant les traits de la sorcière. Ils étaient tirés, comme si une fureur passagère les avait tordus. Rien de très anormal, mis à part cela, si ce n'était le bras tendu avec, au bout des doigts, cette baguette pointue qui n'attendait qu'un mot de sa propriétaire pour faire jaillir de son coeur un faisceau lumineux dévastateur - voire meurtrier. Confus, il cligna des yeux. Puis décidé à rejoindre le dortoir sans passer pour un rustre, il s'exclama en quelques mots.
- Euh ... Ail ?
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Solitude [ron/libre] Mer 11 Nov - 19:19 | |
| Aerith sursauta, un bruit sourd provenant de derrière l'avait plus que surprise, elle ne put s'empêcher de pousser un petit cri de surprise, elle était un peu effrayée et si c'était un mangemort qui avait lu ses pensées et c'était décidé a se débarrasser d'elle...
*réfléchie un peu, ton père est beaucoup trop riche pour que quelqu'un veuille se débarrasser de toi...*
Elle entendi alors une voix masculine derrière elle, par instinct elle se retourna et découvrit un jeune homme roux, a terre, a moitié couvert de boue et de mousse, elle haussa les sourcils comment avait il fait pour en arriver la? Pourquoi avait il parlé d'ail? Elle s'approcha, intriguée, d'après son echarpe il venait de gryffondor, elle leva les yeux au ciel, n'importe lequels de ses compares lui aurai sans doute marché dessus, mais elle se refusa a cela pour plusieurs raisons, premièrement, elle aurai elle aussi pu tomber, ensuite cela aurai sali ses chaussures, elle était trop bien pour faire sa et pour finir elle n'en voyait pas l'interet, elle preferai que la "guerre" qui opposait les deux maisons se passe par l'intelligence et non pas par la violence...Aerith n'aimait pas la violence, elle trouvai sa stupide, et dans cette optique elle se sentait bien supérieur a beaucoup de ses "adultes" qui ne jurai que par la guerre...
Elle se décida donc a s'approcher du gryffondor a terre, une fois assez pret elle reconnu immédiatement malgré le manque de lumière qui se faisait sentir, c'était le meilleur ami de Potter, ils avaient souvent été felicités par Dumbledore... En fait presque chaque années depuis qu'Aerith était a poudlard... Elle savait aussi que celui la venait d'une famille pauvre, son père le lui en avait parlé...Aussi, elle ne sut pas quoi faire...si elle devait partir sans rien dire ou si elle devait se montrer courtoise...
"la politesse avant tout" les paroles de sa mère émergèrent dans son esprit, elle soupira interieurement puis tendis la main de l'adolescent qui lui faisait face et lui dit doucement.
-Tu vas bien?
Elle esquissa un petit sourire, après tout, il devait se sentir assez mal, s'il avait les même les mêmes apriori que la plupart des adolescents de cette école, il devait être convaincu qu'elle allait se moquer de lui et s'empresser de raconter cette histoire a tous les gens de sa maison...c'est sans doute se qu'elle aurai fait...il y a quelques années de cela, mais elle c'était rendu compte que personne ne valait la peine d'être le centre d'une maison comme sa, même si c'était pour des moqueries...Elle seule devait être au centre, et personne d'autre. |
| | | Ronald Weasley Préfet Gryffondor
Nombre de messages : 1174 Date d'inscription : 25/12/2008
| Sujet: Re: Solitude [ron/libre] Mer 11 Nov - 21:36 | |
| Remis de ses émotions, il haussa les sourcils. Pas un rire, pas une moue narquoise, ni même un départ précipité. Pourtant, ils étaient bien là. L'insigne au serpent sur la robe d'uniforme, l'écharpe verte, la cravate assortie. L'apparence soignée, le visage impassible, l'attitude impersonnelle qui bloquait toute tentative de description psychologique. Un robot de chaire et d'os, les yeux rivés sur son reflet, d'étique droite et nette, telle une poupée de porcelaine aux yeux clairs. Redoutable et fragile, fragile et redoutable, une personne immobile que l'on n'oserait froisser. Cependant, l'intrigue que lui procurait la main tendue vers lui était plus forte que la vulnérabilité soudaine que lui faisait ressentir le regard flegmatique de l'adolescente. Il présuma qu'il devrait la serrer une fois debout, la jeune fille semblant trop frêle pour soulever Ronald, d'un gabarit qui était le triple du sien. Donc, las de traîner au sol, il se redressa sur les piliers solides qui lui servaient de jambes et épousseta sa robe, bien qu'il lui eût fallut la nuit pour retrouver un état abordable, tant l'herbe et la terre s'étaient répandus sur lui. Secouant une dernière fois un pan de sa robe, il répondit avec un sourire entendu à la sorcière et lui serra vaguement la main, répondant à sa question par quelques mots mal choisis.
- Je vais très bien, merci. Désolé d'être arrivé si brusquement, mais, j'ai cru entendre quelqu'un parler et, une racine m'a fait trébucher jusqu'ici.
C'était vrai, dans l'ensemble. La réalité pure était un peu différente. Oui, il l'avait entendue, oui, une racine l'avait fait trébucher mais non, il n'était pas arrivé brusquement. Enfin, tel qu'elle l'avait perçut, si, mais il savait qu'avant de s'écraser lamentablement, il était resté quelques minutes stoïque, à épier - même sans le vouloir - la sorcière. Ah, si elle l'avait vu, perché de l'autre côté du Parc, les yeux rivés sur ses moindres faits et gestes ! Sa réaction aurait sans doute été toute autre. Enfin, bref. Ronald tentait de conserver un air neutre ; il n'en était pas moins abasourdi. Elle semblait être la parfaite Serpentard ; plus que présentable, le sourire à l'envers et le regard profond. Alors pourquoi était-ce elle, qui se trouvait là, à lui proposer une poignée de mains, comme s'il ne la répugnait pas ? Lui-même ne l'aurait pas fait, à sa place. Certes, Ron n'était pas un modèle de tolérance, mais comparé aux Serpentard, c'était une bonne soeur ! L'incompréhension était toujours totale, et son regard se renfrognait, en même temps qu'il se faisait interrogateur. Il craignait qu'elle ne le remarque ; s'il était tombé sur l'une de ces filles déçues de son affectation, qui prônait l'indulgence entre les élèves des différentes maisons, c'était sûr, sa soirée finirait sûrement mal. Patati, patata, reproches, morales, ceci, cela ... Rien de très agréable, en conclusion.
Abandonnant ses réflexions, il observa à nouveau le ciel. Tout était sombre, cela indiquait clairement le soir. Qu'il était agréable de profiter de l'extérieur lorsqu'il n'y avait plus le soleil pour vous aveugler ... Par Merlin, la nuit tombait ! Les membres de l'ordre ne tarderaient pas, c'était l'heure de leurs rondes ! Qui disait ordre, disait forcément Fletcher. Et qui disait Fletcher, disait ennuis. Pensant que, quitte à avoir une conversation, il valait mieux l'avoir à l'intérieur, il tenta de rapprocher son binôme du château, en abordant vaguement le sujet de l'heure.
- J'ai une question - je suis curieux, c'est de naissance. Que fais-tu ici, à la tombée de la nuit, alors que Rusard ne tardera pas à fermer les portes du château ? Je ne te force pas à répondre, j'ai simplement peur des blancs gênants.
Laissant tomber son masque bourru, il fouilla à l'intérieur de sa poche. Le temps se faisait froid, et Ronald Weasley était d'une nature frileuse. Les vents se réveillaient, semblait-il. Affichant soudainement un air de fierté totale, il brandit une baguette - qui bien évidemment était la sienne - et frotta le manche, comme pour en chasser la poussière. Pivotant sur lui-même, il s'arrangea pour avoir une vue lointaine sur la tour des Gryffondor et, levant l'instrument de bois en sa direction, s'exclama d'une voix calme :
- Accio cape !
Et, lui sifflant aux oreilles, une cape de voyage brune, d'une simplicité outrageuse, relâcha sa prise sur les airs à hauteur du garçon, de manière à ce qu'il la réceptionne avant la pelouse, qui d'une humidité désagréable s'étendait sur tout le parc. La tordant dans tous les sens, il se résolut à laisser simplement ses doigts courir le long de la couture principale, et trouva, en effet, les manches plus rapidement. L'enfilant à l'arrachée, il ne songea pas à la jeune fille ; elle portait déjà une cape et ne semblait pas frissonner. N'osant rompre le silence, il fit semblant de se concentrer sur sa poche intérieure, où il tentait de ranger sa baguette de la manière la plus lente possible, histoire de ne pas laisser ce fameux silence s'installer trop vite. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Solitude [ron/libre] Mer 11 Nov - 23:04 | |
| Aerith serra la main du jeune gryffondor ne le lachant pas des yeux, il était vraiment dans un sale état le pauvre... Mais cela ne sembla pas le déranger plus que sa, a ça place Aerith aurait été complétement paniquée et serait vite aller se changer avant que quelqu'un ne la voie...C'était donc sa le courage des Gryffondor? Aerith était impressionnée, finalement tous les proches de Potter méritaient peut etre les honneurs qu'ils avaient obtenus...Plus que le "heros" lui même d'ailleurs... Elle le vit frissonner et récupérer sa cape, en effet il ne faisait pas chaud...Mais elle n'était pas frileuse, son père était d'origine Russe et elle avait passé pas mal de vacance la bas...Le froid ne la gênait donc pas, elle tira des gants en dentelle et en velour de sa poche et les passa, tout en réfléchissant a la question qu'il venait de lui poser.
Elle ne conaissait pas la réponse...Elle ignorait pourquoi elle était la...Elle venait la...c'est tout... Mais cela la fit reflechir, que cherchait elle en venant la? A contemplé une chose naturelle qui lui ressemblait? Non, Aerith se trouvait supérieur a se lac...s'il s'agissait d'admirer elle aurait preferé un miroir...Alors quoi? Pourquoi venait elle ici tous les soirs? Elle posa son poing contre sa joue, Elle voulait être seule mais...peut être pas en fait...elle avait des "amies" qui lui servaient surtout de domestique et de fans...Elles la suivaient de partout toute la journée...Aerith voulait voir d'autre chose...Connaitre d'autre gens...mais c'était stupide de venir dans un lieu si isoler pour sa... Comme elle ne parvenait pas a trouver de veritable raison elle repondit simplement.
-Je ne sais pas trop...Je suppose que c'est juste un lieu ou je me sens bien...J'aime bien rester ici jusqu'a ce que le soleil soit couché...
A force de l'observer elle se rappela de son nom, il n'était pas apprecié du tout chez les serpentard, Aerith décida de se faire son propre avis aussi elle dit dans un sourire:
-Tu es Ron Weasley c'est ça? Je m'appelel Aerith von Fharrel, et toi, que fais tu ici? |
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